التبول اللاإرادي عند النساء وعلاقته بالولادة الطبيعية وانقطاع الطمث وانخفاض معدل هرمون الاستروجين

يهدد التبول اللاإرادي النساء اللواتي أنجبن بولادة طبيعية، خصوصاً اللواتي لديهن عدد كبير من الأولاد.
لا سيما بعد فترة انقطاع الطمث، حيث ينخفض معدل هرمون الأستروجين، والذي يحافظ على سلاسة جدار أنبوب البول.
لكن العمليات الجراحية أيضاً ترفع نسبة الخطر.
وكذلك يأتي التهديد من العيوب الخلقية في الحوض.
والعمل المتعلق برفع الاشياء الثقيلة، مثل عمل الممرضات أو الموظفات في المخازن أو غيرها.

التاريخ وفكرة التقدم.. تفسير التحولات التي عرفتها المجتمعات من خلال القوانين الدياليكتيكية التي تقنن صيرورة الوجود الاجتماعي

إذا كان الماضي يتكون من مجموعة من الأحداث المتعاقبة كرونولوجيا، فهل نستطيع أن نؤكد بأن الوقائع التاريخية تعرف سيرورة تراكمية؟
تعتقد الماركسية أن الناس يدخلون في علاقات إنتاج، وبالتالي شروط موضوعية مستقلة عن إرادتهم، وفي حالة ما إذا كانت وسائل الإنتاج ملكية خاصة، فإن ذلك حتما يقود إلى الطبقية وبالتالي إلى استغلال الإنسان للإنسان، هكذا عرف التاريخ أنماطا متعاقبة للإنتاج سادت فيها الطبقية ويتمثل آخرها في نمط الإنتاج الرأسمالي، ويمكن تفسير التحولات التي عرفتها المجتمعات من خلال القوانين الدياليكتيكية التي تقنن صيرورة الوجود الاجتماعي، ومن ثم يمكن تفسير جميع أشكال التحولات التاريخية للمجتمعات من خلال صراع المتناقضات، لهذا ترى الماركسية أن محرك التاريخ هو الصراع الطبقي.
إذا كانت الماركسية تحدد دينامكية التاريخ في القوانين الجدلية، فإن ميرلوبونتي Merleau-Ponty يؤكد أن للتاريخ منطقه الخاص: فهو من جهة عبارة عن تراجيديا واحدة تتأطر داخلها جميع الأحداث، ومن جهة أخرى يلاحظ أن مكونات تلك التراجيديا تتنامى بشكل متسلسل وتعاقبي نحو نهاية معينة، وبما أن التاريخ يعتبر نسقا منفتحا فإن ذلك ما يسمح بوجود فجوات تؤثر في انتظام سيرورة الوقائع: فقد يحدث أن تختل العلاقة الجدلية بين الشروط الاقتصادية والشروط الأيديولوجية، بحيث يسبق النضج الأيديولوجي النضج الاقتصادي، كما يمكن أن تزيغ دينامية التاريخ عن الأهداف المرسومة والغايات المتوقعة، لكن ذلك لا يبيح التخلي عن الاعتقاد بوجود "منطق للتاريخ"، لأن هذا سيفسح المجال لاعتبار التاريخ مجرد احتمالات ضمن سلسلة من الممكنات.
ولعل ذلك ما يتجه إليه تمثل ليفي ستروس  Lévi-Strauss لأن هذا العالم الأنتروبولوجي يعتقد أن تكريس فكرة التقدم فيه كثير من المجازفة، فالتاريخ لا يدل ضرورة على وجود حركية تتجه نحو التقدم، وفكرة التقدم قد تشير فقط إلى وقائع متزامنة مرتبطة بأمكنة مختلفة، وليس بالضرورة إلى وقائع متدرجة عبر الزمان، فقد ذهب الناس مثلا إلى الاعتقاد بوجود "عصر حجري" قبل "العصر البرونزي"، وذلك أمر لم يحدث بالضرورة، والحقيقة أنه نظرا لتطور تقنية صناعة الأدوات والمعدات من البرونز والنحاس قياسا بصناعتها من الحجارة فرض تفوق التقنية الأولى عن الثانية. ذلك ما جعلنا نعتقد أن الأمر يتعلق بتقدم حدث عبر الزمان، بل إن ليفي ستروس ذهب إلى التأكيد أن تحول الوقائع عبر التاريخ يحدث وفق ما يسمى عند البيولوجيين بالطفرات، هكذا يكون التراكم التاريخي مجرد عملية حسابية تستجمع كل الوقائع التي مرت، وذلك لا يؤكد حتما وجود تسلسل منطقي.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 24: L'incendie du verger

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 24: L'incendie du verger: 
Un jour, Bouchaib assista à l'incendie du verger d'Oumouh.
Le lendemain, il apprit qu'on avait trouvé dans le verger des canettes de bière et des mégots.
Il était sûr que Oumouh serait dédommagé par les parvenus dont les fils dépravés avaient provoqué l'incendie.
Le couple conversa longuement de la famille dégénérée d'Oumouh, après quoi Bouchaib continua à écrire son poème en fumant et en sirotant le thé.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 22: Diffusion audiovisuelle des poèmes

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 22: Diffusion audiovisuelle des poèmes:
Le Vieux accepta la diffusion audiovisuelle de son livre, car de la sorte les analphabètes y auraient accès.
Cependant, il préférait des lecteurs lettrés capables d'apprécier la beauté de son œuvre.
Sa femme fut contente quand on le qualifia à la radio d'Agadir de grand poète.
Bouchaib lui promit d'acheter un lecteur de cassettes afin qu'elle puisse écouter ses poèmes qui seraient enregistrés sur cassettes.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 21: La publication de l'œuvre du Vieux

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 21: La publication de l'œuvre du Vieux:
Au grand étonnement de son épouse, le Vieux se réveilla au milieu de la nuit pour s’émettre à écrire. Il la rassura en disant que l'écriture le rajeunissait.
Après quelques semaines de travail, il acheva son œuvre et fut voir l'imam à la medersa.
Ce dernier la fit calligraphier par l'un de ses disciples et garda à la bibliothèque la belle calligraphie dans l'espoir qu'un mécène veuille l'imprimer.
Un mois plus tard, un professeur à l'institut de Taroudant ouvrit une sou--SS--ion, et le livre vit le jour.
Mais bien que les medias aient ignoré cette œuvre, un chantre manifesta son désir de mettre l'histoire en chanson.
Le Vieux refusa; mais sur insistance de l'éditeur et de l'imam, il finit par accepter cette offre. Ainsi, l'auteur gagna de l'argent dont il offrit une partie à l'imam pour la réfection de la medersa.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 20: De beaux poèmes

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 20: De beaux poèmes:
La medersa, attenante à un sanctuaire, était dirigée par un jeune imam lettré.
Le Vieux, qui lui avait confié depuis quelques jours une partie de son manuscrit, se rendit ce matin-là à l'école pour le voir.
Ce dernier fit des éloges enthousiasmés aux poèmes, et promit à l'auteur d'oeuvrer pour leur publication.
De retour à la maison, sa femme lui fit savoir que H'mad leur avait apporté deux perdreaux, et révéla son intention de faire moudre son orge à la minoterie.
Le Vieux lui donna raison en expliquant qu'il y avait de bonnes et de mauvaises choses dans la modernité.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 18: Le Vieux, fidèle aux traditions

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 18: Le Vieux, fidèle aux traditions:
Lorsque le patron du magasin lui conseilla de se procurer des engrais, Bouchaib s'indigna et refusa net.
Il acheta un cuissot de chevreau et des plants puis revint chez lui.
Après avoir planté les herbes achetées au magasin, il se remit à écrire l'histoire du saint, avec l'espoir qu'un jour quelqu'un découvrirait le manuscrit et le publierait.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 17: L'attrait de la modernité

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 17: L'attrait de la modernité:
Depuis l'agrandissement du magasin du village, les gens n'allaient que rarement au souk hebdomadaire; même le Vieux dérogeait à cette tradition.
Ce jour-là, il fut au magasin dans le but de faire des emplettes: il voulait se procurer des objets modernes, dont un réchaud à gaz.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 15: Les ennuis d'Amzil

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 15: Les ennuis d'Amzil:
Le Vieux fit venir Amzil pour qu'il ferre la meule.
Le travail achevé, il invita le maréchal-ferrant à prendre un verre de thé.
Ce dernier lui conta ses ennuis à cause de l'accouchement difficile de sa femme, et lui parla de la bienfaisance de Haj lahcène qui l'avait aidé.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 13: La circoncision

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 13: La circoncision:
Deux jours plus tard, Salem, un jeune Noir, vint inviter le Vieux à la fête de circoncision des deux garçons de l'adjudant.
Il se rendit à la demeure de son hôte qui le reçut chaleureusement.
La circoncision des deux enfants effrayés terminés, les invités conversèrent autour de ce rite et de l’excision dans certains pays africains.
Après ils allèrent manger du couscous aux tripes, et partirent.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 12: L'écriture

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 12: L'écriture:
Les touristes partis, le Vieux descendit dans le jardin où il observa le chat aux aguets pour attraper un oiseau.
Après avoir préparé le thé, il se mit à écrire.
Au déjeuner, il informa sa femme de la visite du guide.
Ce dernier ne tarda pas à réapparaître pour lui dire qu'il n'avait pas trouvé de bêtes de location: les villageois en avaient besoin pour leurs travaux de champ.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 11: Les touristes

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 11: Les touristes:
Le Vieux continuait l'écriture de la vie du saint méconnu tout en initiant sa femme aux mystères du monde.
Le lendemain, un guide touristique vint le voir pour louer sa mule et des ânes: cinq touristes américains voulaient faire une randonnée dans la montagne.
L'un d'eux était un étudiant qui faisait une recherche sur les coutumes de la région; les autres des contestataires de la politique belliqueuse de leur pays.
Bouchaïb invita les visiteurs à prendre du thé, mais il refusa de louer sa monture.
Pressés, le guide et les touristes s'excusèrent et partirent.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 10: Envolée lyrique à propos de l'orange

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 10: Envolée lyrique à propos de l'orange:
Le Vieux se réjouit de l'avènement de la verdure printanière après les averses de l'hiver, ce qui permit au couple de manger des fruits et des légumes frais.
Un matin ensoleillé où les villageois étaient gais, Bouchaib sortit son attirail d'écriture.
Ensirotant le thé à l'absinthe, il pensa aux vieilles filles qui ne trouvaient pas de maris.
Il conclut que le sort de ces dernières est mieux que celui des femmes mariées, battues par leurs époux et affaiblies par les multiples grosses.
Il continua l'écriture quand sa femme, qui revenait de l'extérieur, lui apporta des oranges. Il n'en mangea pas, étant occupé par l'inspiration.
Mais lorsqu'il rédigea plusieurs pages, il dégusta une orange en débitant un discours poétique sur ce fruit.
Après le repas, un plat de couscous aux navets, il parla à sa femme du Mokaddem, un ancien trafiquant, et s'endormit.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 9: L'histoire du saint méconnu

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 9: L'histoire du saint méconnu:
L'hiver était rude; les habitants du village restaient tapis dans leurs demeures.
Le couple conversa du nouveau fqih, jeune homme venu de l'institut de Taroudant en remplacement de l'ancien maître d'école mis en retraite.
Pendant que la femme préparait, comme d'habitude, le tajine, le Vieux écrivait l'histoire épique d'un saint méconnu, Il lut à voix haute un fragment du poème qu'ilavait composé.
Son épouse le trouva fascinant.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 7: Le tremblement de terre entre explication scientifique et métaphysique

Résumé du chapitre 7 : Le tremblement de terre entre explication scientifique et métaphysique

Le décor et les personnages:

  • Le chapitre se déroule à la fin de l'été, après de bonnes récoltes.
  • Bouchaib fume sa pipe tandis que sa femme prépare le tajine.
  • Un chat roux et une mule ont remplacé le chat noir et l'âne décédés.

L'événement principal:

  • Un tremblement de terre secoue la région pendant la nuit.
  • Le lendemain, le couple apprend la destruction totale d'Agadir.

Réactions et réflexions:

  • Les villageois, paniqués, se tournent vers la religion, y voyant un châtiment divin.
  • Bouchaib, quant à lui, propose une explication scientifique du phénomène.
  • Après une longue attente, les pluies tant attendues arrivent enfin.

Le choix de la vie rurale:

  • Les paysans, malgré leurs difficultés, préfèrent la vie simple et authentique du village.
  • Ils refusent l'exode vers les villes, perçues comme des lieux de corruption et d'indifférence.

Points importants du chapitre:

  • Contraste entre l'explication scientifique et la vision religieuse du tremblement de terre.
  • Importance de la solidarité et de l'entraide dans les moments difficiles.
  • Attachement à la vie rurale et aux valeurs traditionnelles.

Questions à explorer:

  • Quelle est la place de la religion dans la vie des personnages?
  • Comment le couple vit-il la destruction d'Agadir?
  • Quelles sont les motivations des paysans à rester dans leur village?
  • La vie urbaine est-elle vraiment idyllique?
Ce chapitre met en lumière la sagesse et la résilience des personnages face aux épreuves de la vie.

Il souligne également l'importance de la communauté et des valeurs humaines dans un monde en constante évolution.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 6: La mémoire saccagée par les mercantilistes

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 6: La mémoire saccagée par les mercantilistes:
La modernité et la tradition cohabitaient bon gré mal gré.
Les villageois continuaient à cultiver leurs terres et à se rendre au souk hebdomadaire en vue de s'approvisionner en produits modernes.
Mais la femme de Bouchaïb rechignait toujours à aller à la minoterie installée dans le village pour faire moudre ses céréales; elle utilisait toujours sa meule.
Et elle veillait pieusement à ses bijoux en argent qu'elle préférait à ceux en or.
Le couple déplora le pillage du patrimoine archéologique, des bijoux ancestraux et des articles en boisporteurs d'histoire, par les trafiquants de tous acabits qui les revendaient à des étrangers.
Et le Vieux de mettre sa femme en garde contre les camelots rapaces qui rôdent dans les villages. Bouchaib et sa femme étaient affligés par ces changements rapides qui annonçaient la ruine des valeurs ancestrales: la dépravation des jeunes à cause de la ville, le culte de l'argent, la rapacité qui mettait à mal les relations familiales et humaines, l'irrespectdes coutumes.
Ils stigmatisaient notamment l'alcohol et ses retombées désastreux sur les jeunes.
Après cette conversation sur les temps ingrats, Bouchaïb révéla à sa femme qu'il était en train d'écrire des poèmes.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 3: Le rêve lancinant

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 3: Le rêve lancinant:
Cette nuit-là, le sommeil du Vieux est troublé par le même rêve: il tombait du haut d'un amandier qu'il grimpait.
Le matin, il se rendit, en compagnie du boucher et d'un vieillard vénérable, à "la Mosquée haute" où régnait une ambiance de fête qui se déroulait dans un rituel mémorable.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 2: Un homme d'honneur

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 2: Un homme d'honneur: 
En sa qualité de policier du village, le Vieux reçut, du temps de la colonisation, un Mozhazni venu chercher des résistants en fuite.
Il le rabroua en lui signifiant sèchement que les fuyards n'étaient pas au village, et en informa les concernés qui continuèrent à vivre en toute quiétude.
Après s'être délecté de ce souvenir qui lui étaitcher, Bouchaib alla tendre un piège pour attraper des lièvres.
Le lendemain, il enrapporta deux et somma sa femme d'offrir un peu de viande à une vieille voisine.
Avant de dormir, il dit à sa femme que le lendemain, deux boeufs seraient sacrifiés à la mosquée, et lui parla d'un rêve qui hantait ses nuits.

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 1: Un vieux couple dans un village reculé

Résumé de l'œuvre «il était une fois un vieux couple heureux» - Chapitre 1: Un vieux couple dans un village reculé:
Le vieux couple, Bouchaib et sa femme, menait une vie au milieu des ruines hantées par les reptiles et les animaux sauvages dans village montagneux au Sud du pays.
Après plusieurs périples au Nord et dans une partie de l'Europe, l'homme y avait éludomicile.
C'est un bon croyant et fin lettré qui possédait à Mazagan une échoppe lui permettant de vivre à l'aise dans ce village reculé.
Les deux vieux vivaient en bons termes avec la nature hostile et les voisins.
Et même s'ils n'avaient pas d'enfants, ils n'éprouvaient aucune amertume.

Il était une fois un vieux couple heureux, de Mohammed Khaïr Eddine

Compte-rendu de lecture: 
Il était une fois un vieux couple heureux, de Mohammed Khaïr Eddine
(Seuil, 2002, 186 p)
par Annie Devergnas
Mohammed Khaïr-Eddine, mort en 1995 à l’âge de 54 ans, a laissé un journal, On ne met pas en cage un oiseau pareil (lire le compte-rendu d’Antoine Hatzenberger [1]) et des œuvres publiées à titre posthume : une pièce de théâtre, Les Cerbères, et ce récit, Il était une fois un vieux couple heureux. Le Journal fournit au sujet de cette dernière œuvre un témoignage exceptionnel, puisqu’il en commente à plusieurs reprises la gestation et la rédaction. Pour échapper à la douleur causée par sa maladie, écrit Khaïr-Eddine, il imagine « des personnages de légende »:
Je voulais écrire l’histoire de l’un d’eux. Des phrases entières défilaient dans ma tête, dans ce demi-sommeil proche du rêve [...]. Un livre était là, insoupçonné, inattendu. Un récit d’une beauté surprenante, le récit d’un vieux couple sans postérité dans son village de la vallée des Ammelus qui évolue au fil des années… En un peu plus d’un mois, j’ai pu achever cette œuvre neuve…mais sans l’aide permanente de l’Eternel, je n’aurais rien pu faire, je n’en aurais même pas eu l’idée… mais Dieu est venu à mon secours, ce qui a favorisé la littérature. On verra comme ce petit chef-d’œuvre est magnifique. Moi, je remercie d’abord Dieu de m’avoir permis de le vivre intensément avant de l’écrire. Car j’ai vécu chaque scène, chaque détail. (7 août 1995)
Cette page est instructive à plus d’un titre : ainsi, l’œuvre est « donnée » dans un état proche de l’inconscience, et conçue à l’avance dans l’imagination de l’écrivain avec une grande précision avant d’être écrite, ce qui permet de la terminer très rapidement. De plus, Mohammed Khaïr-Eddine attribue son inspiration à Dieu, sans qui l’œuvre n’aurait pas vu le jour, affirme-t-il : l’Eternel est venu au secours de la littérature ! Cette conviction d’avoir bénéficié d’une aide transcendante autorise Khaïr-Eddine à qualifier son roman de « petit chef-d’œuvre [...] magnifique ».
La maladie a en effet développé, chez l’auteur du Déterreur, un élan mystique d’une grande intensité ; son Journal est ponctué de phrases d’action de grâce envers le Tout–Puissant, sans qui, affirme-t-il, il n’aurait jamais eu la force de résister à la souffrance. (Il avait même eu l’intention d’écrire « une centaine de Psaumes pour rendre hommage à Dieu, [son] créateur ». 19 août 1995).
Quel est donc ce « récit d’une beauté surprenante », que le titre apparente en effet à une légende ? Un couple de vieux montagnards Berbères, fidèles et paisibles, restés dans leur montagne du Sud marocain, constatent au fil des ans les changements dus au modernisme qui touche même leur petit village écarté. Leur vie est simple. Toujours dans son Journal, l’auteur présente ses personnages dans leur cadre:
La femme prépare un bon tagine, Bouchaïb [« le Vieux »] fume et boit du thé. Le chat est allongé près de son maître. Le ciel est un fleuve de diamant très scintillant (la voie lactée), la nuit est pleine d’odeurs et de bruits. La nature vit. Il y a là un rythme serein, une paix divine. (7 août)
Plus loin dans son Journal, Mohammed Khaïr-Eddine explique l’importance toute personnelle qu’il attache à la description répétée des menus du vieux couple, en tant que « narrateur frustré » qui ne peut plus rien avaler de solide et tâche ainsi de « compenser ses manques ».
Il n’est pas difficile de voir en ce Vieux si sage, revenu au pays après des années d’aventures « dans le Nord » - ce « Nord » où la civilisation moderne exerce ses ravages - le double nostalgique de l’écrivain, celui qu’il aurait aimé être dans ses vieux jours. Le vieux Bouchaïb connaît tant de choses ! L’histoire de son pays, les coutumes ancestrales, la poésie, l’astronomie, la faune et la flore de sa montagne, mais aussi le mode de vie occidental. Il a beaucoup lu, et sa principale occupation, quand il ne commente pas l’actualité qui lui parvient par la radio et les visiteurs, est la composition de poèmes hagiographiques en langue berbère. Grâce à l’imam du village, le lettré qui dirige la mosquée, il est publié et ses poèmes mis en musique sont diffusés sur les ondes : il devient célèbre à Agadir, et il est même connu à Paris...
A travers ce vieillard qui lui ressemble, Khaïr-Eddine s’exprime sur tous les sujets qui lui tiennent à cœur : la Résistance héroïque des anciens face à l’Occupant français, l’émigration, les bouleversements économiques, les causes humaines de la sécheresse, l’abandon des campagnes au profit des grandes villes, la misère des uns et la cupidité des autres. Les « arrivistes » surtout le mettent en colère, et les profiteurs de tout poil; mais la vue d’un amandier en fleur suffit à le calmer. Il ne refuse pas certains avantages du modernisme : on voit Bouchaïb acquérir une radio, une poêle en acier inoxydable, un réchaud à gaz... Mais la solution aux problèmes économiques et écologiques serait, selon lui, que les montagnards restent sur leurs terres, à vivre frugalement de leurs récoltes. Sa femme qui l’écoute avec respect, et donne à l’occasion son opinion, toujours modérée, et ses animaux favoris, chat, âne, mule, qu’il traite comme ses enfants, suffisent à son bonheur. Il fume et boit beaucoup de thé, parfumé à la menthe de son jardin, écrit ses poèmes (dont il décrit la naissance, par bribes qui s’imposent à lui, le réveillant parfois la nuit), et ne regrette pas de ne pas avoir eu d’enfants. On l’invite dans le village à chaque événement important : tel est ce Vieux, modèle d’humanisme et de sagesse.
Dans ce récit sans chronologie, où dès le début il nous montre les ruines de la maison du vieux couple, Mohammed Khaïr-Eddine ne manque pas de décrire ces paysages qu’il connaît bien, de nommer avec précision, selon son habitude, plantes, animaux et insectes, de faire entendre ces petits bruits de la nature qui amplifient encore le silence sous la voûte étoilée, dont il est question à plusieurs reprises.
Son héros a trouvé le bonheur dans la renonciation: « Heureux celui qui, comme l’Ecclésiaste, est revenu de tout. Il reste tranquille, il attend ce que Dieu lui a promis et il travaille pour vivre là où il se trouve. Car la vie est partout, même dans le désert le plus aride ». Ce sont les dernières lignes du récit.
Dans l’aride désert des derniers mois de sa maladie, Mohammed Khaïr-Eddine est parvenu à une acceptation sans révolte de son sort, le regard déjà tourné vers l’Eternité : il y a loin entre l’amertume violente de ses jeunes années et ce modèle biblique de sagesse qu’il nous propose dans son œuvre ultime.

Biographie de Mohammed Khaïr-Eddine.. Légende et vie d'Agoun'chich. Résurrection des fleurs sauvages. Soleil arachnide

Mohammed Khair-Eddine est l'un des grands écrivains de la littérature francophone marocaine. Il né à Tafraout en 1941, dans le sud du Maroc, Mohammed Khaïr-Eddine est issu d'une famille de commerçants.
 Il vit à Agadir (1961-1963), Casablanca (1963-1965), puis 15 ans à Paris (1965-1979) où il y publie beaucoup de ses oeuvres et anime des émissions radiophoniques nocturnes pour France Culture. Il parvient à multiplier les collaborations dans des revues spécialisées (Encres Vives, Dialogues, Lettres nouvelles, Présence africaine...) et à publier la grande majorité de ses écrits. Cette période d'errance durera une quinzaine d'années, entre le Midi de la France et Paris. Parallèlement, Khaïr-Eddine vit dans le mouvement des idées de Mai 68 et continue à faire des rencontres importantes: Malraux, Sartre, Beckett, Senghor, Césaire, Damas...
 Il rentre au Maroc en 1979, sur un coup de tête dira-t-il. L'exil s'impose une autre fois comme une solution de rechange. "Je vais, je cours, je cherche sans relâche quelque chose qui me fasse désirer la vie", écrivait l'auteur dans Agoun'chich.
 Il fuit de nouveau le Maroc à la recherche de nouvelles voies de création, d'un nouveau souffle. En 1989, il est de retour à Paris où il renoue avec le théâtre. La quête se prolonge quelques années plus tard, avant que le poète ne s'éteigne d'un cancer, au Maroc, en 1995. Ses œuvres, interdites aux Maroc de son vivant, ont commencé à être rééditées en 2002.
Ses œuvres:
Ses œuvres ont été publiées, pour la plupart, aux Éditions du Seuil:
- Agadir (1967).
- Corps négatif (1968).
- Histoire d'un Bon Dieu(1968).
- Soleil arachnide (1969).
- Moi l'aigre (1970).
- Le Déterreur (1973).
- Ce Maroc ! (1975).
- Une odeur de mantèque (1976).
- Une vie, un rêve, un peuple, toujours errants (1978).
- Résurrection des fleurs sauvages (Éditions Stouky et Sedki, Rabat, 1981).
- Légende et vie d'Agoun'chich (1984).
- Il était une fois un vieux couple heureux.
- Faune détériorée (1997).
- Le Temps des refus, entretiens 1966-1995.

Résumé général de La planète des singes

Résumé général de "La planète des singes":
L’histoire commence quand deux étranges personnages récupèrent une bouteille contenant un manuscrit, qui racontait l’histoire de trois hommes partant à bord d’un vaisseau spatial hyper équipé afin de découvrir d’autres planètes habitables.
A la lecture du texte, l’équipage du vaisseau était arrivé sur une planète inconnue. Ils la baptisèrent « Sorror », car elle était située dans l’astre solaire de Bételgeuse. Une fois arrivés sur Sorror l’équipage se rendit compte que cette planète était gouvernée par des singes et que l’homme avait été réduit à errer comme un animal sauvage.
Ulysse Mérou, membre de l’équipage et journaliste fut vite capturé par les singes ainsi que le reste des membres du vaisseau comme étant des animaux sauvage.
Mérou devra se prêter à des expériences organises pas un orang-outang.
Prisonnier dans une cage il fit connaissance avec la belle humaine Nova. Il rencontra aussi Zira un chimpanzé et son fiancé.
Ces derniers aidèrent le journaliste à lui garder la vie sauve, car il était menaçant pour la société des singes.
Doté d’une intelligence supérieur à celle des singes il fera tout pour démontrer qu’il est humain et qu’il provient d’une autre planète.
Après ces épreuves il fut admis dans la société des singes comme scientifique.
Il apprit part Zira que Nova était enceinte et qu’il deviendrait bientôt papa.
A cet instant précis, des complots s’organisèrent pour exterminer Mérou et sa petite famille.
Mais Zira et Cornelius décidèrent de l’aider à regagner le vaisseau spatial afin de repartir pour la terre.
Une fois revenu sur terre il se rendit compte qu’elle avait été investie par les singes.
Après lecture du manuscrit les deux étranges individus, des chimpanzés se regardèrent et rigolèrent avec cette histoire splendidement inventée.

Résumé de l’œuvre «la Planète des singes».. PREMIERE PARTIE. DEUXIEME PARTIE. TROISIEME PARTIE

Résumé du roman:
Jinn et sa femme Phyllis sont un couple de singes qui voyagent dans l’espace à bord de leur vaisseau à voile. Un jour, le couple trouve une bouteille contenant un manuscrit. C’est le récit de l’aventure de trois terriens sur la planète des singes racontée par l’un des aventuriers appelé Ulysse Mérou.
Récit de l’aventure:
PREMIERE PARTIE:
En l’an 2500 le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile super géante la Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple le jeune physicien Arthur Levain et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Mérou ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Une fois arrivé, le professeur Antelle a vu que quatre planètes gravitent autour de cette étoile. L’une d’entre elle ressemble étrangement à la Terre. Il a décidé alors de l’explorer. A bord d’une chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror avec celle de la terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne l’envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains. Ces traces appartiennent à une jeune fille qui, sans être gênée de sa nudité, s’approchent d’eux avec méfiance. La jeune fille baptisée Nova ne sait parler ni sourire et ses gestes ressemblent à ceux des animaux. Au moment où les quatre nagent dans l’eau, le chimpanzé Hector réapparaît mais il est sur le champ tué par la jeune fille dont le comportement animalier choque le narrateur qui demeure, toutefois, soumis par la beauté physique de la sauvageonne. Le lendemain, Nova arrive accompagnée de plusieurs hommes de sa tribu. Ces derniers ne parlent pas, ils hululent seulement. Irrités par les habits des trois aventuriers, les hommes de Soror n’ont pas tardé à les déchirer mais sans faire du mal aux aventuriers. Ils s’attaquent ensuite à la chaloupe qu’ils détruisent complètement et s’adonnent à leur enfantillage dans le lac sans prêter attention aux trois terriens trop gênés par leur nudité. Conduits au campement, les trois aventuriers découvrent la vie primitive des hommes de Soror. Nova leur donne à manger et s’approche du narrateur avec qui elle passe la nuit. Le jour suivant, un grand tapage semble étourdir les hommes de Soror qui fuient dans tous les sens. Sans trouver d’explication à cette furie (= rage intense) le narrateur et ses compagnons les suivent. Au bout de sa course, le narrateur s’arrête et découvre ce qui parait pour lui une sorte de rêve. Le tapage est en fait une partie de chasse où les chasseurs sont des singes et le gibier des humains. Se trouvant sur la ligne de tir d’un gorille, le narrateur ne peut s’empêcher de remarquer l’élégance de sa tenue de chasse et son regard étincelant comme celui des humains sur la planète Terre. Ces singes semblent raisonnables et intelligents. Cependant, son compagnon Arthur, pris de terreur, se fait tué sur le champ par le gorille. Le narrateur profite d’un petit instant de relâchement et s’enfonce dans les buissons. Mais il se fait capturé dans un filet tendu pour attraper les fuyards. Les prisonniers sont mis dans des chariots et conduits à une maison où les chasseurs sont attendus par leurs femmes venant admirer l’œuvre de leurs maris. Les morts sont exposés aux regards admiratifs des guenons et les vivants sont conduits dans des chariots vers la capitale pour servir de cobaye dans des recherches scientifiques. Le narrateur a été mis dans une cage individuelle située en face de la cage de Nova que surveillent deux gorilles appelés Zanam et Zaram. Voulant attirer leur attention sur sa différence, le narrateur les remercie avec amabilité. Surpris, les deux gorilles avertissent leur supérieur qui est un chimpanzé femelle appelée Zira. Intriguée par ce cas, la guenon avertit son supérieur : un vieux orang-outan qui fait subir au narrateur plusieurs tests de conditionnement pour s’assurer de son intelligence. Étonné par les résultats obtenus, le vieillard appelé Zaïus en informe un autre collègue et décident de faire subir au narrateur le test de l’accouplement. Il lui choisit comme partenaire Nova. 
DEUXIEME PARTIE:
Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il a dessiné à Zira le système solaire et la planète Terre à bord d’un vaisseau c’est pour cela qu’il est différent des autres prisonniers. Zira a bien compris son message et lui a demandé de garder le secret pour lui car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence, de sa part à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui a appris comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité très avancé. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre après trois mois d’enfermement. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui a appris que Zaïus veut le transférer à la division encéphalique (=en anatomie, relatif à l’encéphale, à l’ensemble des centres nerveux qui se trouvent dans la boîte crânienne) pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’a empêché faire cela. Elle lui demande de faire très attention et de révéler son secret que lors du congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants. Elle lui a donné, par la suite, une lampe et des livres pour apprendre le langage simien. Le narrateur y découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des humains restant à un stade d’animalité très avancé. Les deux premiers jours du congrès ont été consacrés aux théoriques. Le troisième jour Cornélius a présenté le narrateur qui, de sa part, a exposé son cas devant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Le congrès a décidé de libérer le narrateur attire l’attention des foules et la curiosité des enfants. Mais le danger continue de le guetter parce qu’il constitue une menace pour la civilisation des singes. Les gorilles veulent se débarrasser de lui. 
TROISIEME PARTIE:
Après s’être nommé directeur de L’Institut des recherches biologiques, Cornélius désigna le narrateur comme son collaborateur et lui proposa de visiter un site archéologique qui remonte à plus de six mille ans. Cornélius menait sur ce site des recherches sur l’origine des singes. Les recherches avaient révélé la présence d’une poupée humaine qui parle. Cornélius fut très inquiet parce qu’il avait la prévue que la présence que les humains avaient régné en maîtres sur leur planète. Cornélius renvoya le narrateur à la capitale qui, de sa part, comprit enfin que la civilisation des singes était bâtie sur l’imitation. Zira avait appris au narrateur que Nova était tombée enceinte et qu’on l’avait transférée dans un autre service parce que la naissance devait rester secrète. Hélius, le directeur de la division encéphalique fit visiter au narrateur une sale où des humains cobayes racontaient comment les singes avaient pris le pouvoir sur la planète des singes et comment ils avaient réussi à domestiquer les humains. Cependant, les singes commençaient à se méfier du narrateur car il constituait une menace pour leur civilisation. Enfin, Nova accoucha d’un garçon qui parle comme les humains de la Terre. L’événement fut tenu secret. Mais certains orangs-outangs avaient décide d’éliminer l’enfant parce qu’il constituait une preuve concrète sur leurs erreurs scientifiques. Mais le narrateur et sa petite famille furent sauvés et retournèrent sur Terre qui de sa part, fut envahie par les singes. Ils décidèrent alors d’errer dans sauvés et retournèrent sur Terre qui de sa part, fut envahie par les singes. Ils décidèrent alors d’errer dans l’espace à la recherché d’un réfugié. Après avoir fini la lecture de l’histoire d’Ulysse Mérou, Jinn et Phyllis rentrèrent chez eux sur la planète des singes.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre XI - XII / 11 - 12

 La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre XI -11:
Ulysse est maintenant dans un vaisseau spatial en compagnie de Nova et Sirius, son fils.
Le plan de Cornélius a réussi; et le satellite a abordé sans problèmes le vaisseau spatial.
Déjà plusieurs mois se sont écoulés depuis qu’il a quitté Soror.
Le journaliste éprouve des regrets pour avoir quitté Zira, mais il se réjouit d’avoir sauvé sa famille. Nova a appris ç sourire et à pleurer. 
Ulysse est envahi par une émotion poignante à la vue de la terre.
Il se pose à Onlay.
Mais quand ils ont quitté l’engin, ce sont des gorilles qui les accueillent et non des êtres humains.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre XII -12:
Jinn et Phyllis paraissent incrédules après la lecture de cette histoire, ils rentrent chez eux.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre X -10

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre X -10:
À cause de son agressivité, le professeur Antelle est dorénavant placé dans une cage ordinaire en compagnie d’une jeune fille.
Le savant, devenue sauvage, reprend goût à la vie bestiale. 
Cornélius vient chercher Ulysse qui est devant la cage du professeur.
Il lui annonce une nouvelle grave: le grand conseil décide d’enlever le bébé à sa mère pour le placer dans une vigoureuse sous haute surveillance.
Les orangs-outans et les gorilles agissent pour qu’on supprime le journaliste, ou du moins pour qu’on lui enlève une partie du cerveau.
Zira lui révèle qu’elle est son mari l’aideront, lui et sa nouvelle famille: dans dix jours, un satellite sera lancé par les singes; à la place des trois cobayes humains, seront placés Ulysse, le bébé et sa mère.
Le satellite rejoindra le vaisseau spatial qui a amené le journaliste sur cette planète.
Cornélius assure son ami de la réussite de ce plan grâce aux multiples complicités dont il jouit.
Le savant part laissant Zira et Ulysse seuls dans le bureau.
Ils s’enlacent tendrement.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre VIII -8

 La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre VIII -8:
Dans cette salle, il y des appareils ordinaires en plus d’un homme et d’une femme étendus sur deux divans et attachés par des sangles.
Après quelques manèges, Ulysse est médusé d’entendre parler l’homme et la femme, sous l’excitation électrique, dans langage simien.
Les propos ataviques de la femme sont des souvenirs remontant à une époque lointaine où régnaient les êtres humains.
Ses récits relatent les débuts de l’évolution des primates et les révolutions contre les hommes.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre VII -7

 La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre VII -7:
Ulysse attend la naissance du bébé.
Un jour Cornélius lui fait visiter la section encéphalique.
Le chef du service, Hélius, l’introduit dans une salle où il y a des cages et des odeurs pharmaceutiques.
Il assiste à des sujets sur lesquels les singes ont pratiqué des opérations.
Il en est profondément indigné et choqué.
Dans une autre salle des infirmiers se livrent à des expériences sur les humains mutilés.
Ne supportant pas la vue de femmes et d’hommes torturés aux électrodes, il crie d’indignation.
A ce moment, arrive Cornélius qui justifie ces tests par la nécessité scientifique.
Puis il entraîne Ulysse dans une petite salle secrète, en lui recommandant la discrétion totale.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé CHAPITRE V -5

 La Planète des singes - Troisième partie - Résumé CHAPITRE V -5:
Après son retour à la capitale, Ulysse passa un mois alité, à, cause d’un mal qu’il a probablement contracté sur les lieux des feuilles.
Son esprit est encore tourmenté par la découverte dans le site archéologique. Il s’évertue à trouver la cause de déchéance de l’homme et de l’évolution des primates.
Se sentant aujourd’hui mieux, il décide d’aller rendre visite aux hommes prisonniers.
Ces derniers le reconnaissent en dépit de sa langue absence.
Il lit dans leurs yeux une lueur d’espoir.
Alors une idée inouïe surgit dans son esprit: son voyage vers Bételgeuse n’est pas le fruit d’un hasard; mais Dieu l’a envoyé pour sauver les hommes déchus.
Après avoir le tour des cages, il s’approche de celle de Nova; il la trouve vise.
Zira lui apprend que la captive est enceinte.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé CHAPITRE III -3

 La Planète des singes - Troisième partie - Résumé CHAPITRE III -3:
Il s’agit d’une cité entière ensevelie sous les sables d’un désert.
Durant un mois, Cornélius s’applique à étudier le site archéologique découvert.
Il est persuadé que la réponse à ses questions se trouve en ce lieu.
Les ruines prouvent que les habitants anciens de cette cité avaient des automobiles, des usines, des avions.
Cela déçoit le savant et le journaliste: l’origine de l’intelligence remonte encore plus loin dans le passé.
Impatienté Cornélius descend dans la fosse, au milieu des ouvriers. Soudain, il en sort tenant à la main une poupée humaine de porcelaine, qui porte encore les haillons d’habits.
Lorsque le savant a pressé le mécanisme, la poupée prononce le mot papa.
Le moment d’exaltation passé, Cornélius semble regretter d’avoir associé Ulysse à ses recherches. Il le somme de revenir à l’institut.

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre premier

La Planète des singes - Troisième partie - Résumé Chapitre premier:
Aujourd’hui, après un mois de liberté, Mérou se réveille de bonne heure, après un sommeil agité.
Il occupe un des appartements les plus confortables de l’Institut dont le grand maître scientifique est Cornélius.
L’ex-prisonnier devient le collaborateur du jeune savant.
Cela lui permet d’étudier les hommes.
Malgré ses efforts, il ne parvient pas à les faire parler. Pourtant il ne se décourage pas.
C’est avec Nova qu’il fait des progrès.
Cornélius invite Ulysse à voyager avec lui pour se rendre sur des sites archéologiques où les singes viennent de faire des découvertes importantes, il accepte avec joie.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE IX -9

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE IX -9:
Ulysse ne reprend connaissance que beaucoup plus tard.
Il se retrouve étendu dans un lit.
Zira et Cornélius le félicitent et lui annonce que le grand conseil de Soror a décidé de le libérer.
Le jeune académicien se réjouit d’avoir obtenu du Conseil que l’homme soit son collaborateur.
L’ex-prisonnier habitera dans un appartement confortable. 
Un chimpanzé tailleur vient lui prendre des mesures.
En mois de deux heures, le singe lui confectionne un costume convenable.
Après, il est assailli de journalistes curieux qui le harcèlent de questions sur la terre et ses habitant. 
Au moment où ils s’apprêtent à aller à la réception organisée par les amis de Cornélius, Zanam arrive pour informer Zira de la folie qui s’est emparée des prisonniers humains.
La guenon part accompagnée par Ulysse. 
La présence de ce dernier calame les captifs.
Aussitôt, il quitte l’établissement pour aller au cabaret où l’attendent le jeune académicien ses amis.
Au cours de la soirée, une tristesse ombrage le visage d’Ulysse.
Il confie la cause de son chagrin à Zira, sans tarder, Cornélius l’emmène pour faire libérer Antelle.
Le directeur du zoo les conduit devant la cage du professeur.
Mais Mérou est déçu car le professeur ne le reconnaît pas ; il est devenu comme les hommes de Soror.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé Chapitre VIII -8

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé Chapitre VIII -8:
Ulysse, avec une grande humilité, informe l’assistance sur la planète d’où il est venu et figure sur un tableau le système solaire.
Après avoir parlé de l’homme terrestre et de sa civilisation, il fait le récit de son voyage interplanétaire et conclut par un appel à la fraternité entre les hommes et les singes. 
L’audience acclame bruyamment son discours.
Harassé, Ulysse se laisse tomber dans le siège de ZaÏus que ce dernier a quitté; il perd connaissance. Par conséquent, les acclamations redoublent de violence.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé Chapitre VI -6

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé Chapitre VI -6:
Zira emmène souvent Ulysse se promener dans le parc où ils rencontrent Cornélius qui les aide à préparer le discours que l’homme doit prononcer devant le conseil annuel des biologistes.
Ce jour, le jeune académicien étant absent, la guenon propose au journaliste d’aller au parc zoologique.
Les animaux sont presque semblables à ceux de la terre.
Zira cède à l’insistance du journaliste et le conduit aux quartiers des hommes.
Ces derniers sont donnés en spectacle aux badauds singes qui s’amusent à les exciter pour qu’ils accomplissent des acrobaties.
La mort dans l’âme à cause des scènes dégradantes des hommes exposés dans les cages, Ulysse est sur le point de partir avec Zira quand il voit le professeur Antelle.
Cet illustre savant agit comme les autres hommes enfermés avec lui: il tend la main à un enfant singe pour recevoir un fruit.
La guenon dissuade le journaliste de ne pas lui parler de crainte de ruiner le plan qu’ils ont élaboré; elle lui promet de lui venir en aide après le succès de leur démarche.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE V -5

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE V -5:
Grâce aux livres et à la lampe offerts par Zira, Ulysse étudie la civilisation et le langage simien qu’il maîtrise bien maintenant.
La planète Soror n’est pas divisée en nations; elle est administrée par un conseil regroupant trois race: les chimpanzés, les gorilles et les orangs-outangs. Les gorilles occupent les postes d’administrateurs dans les grandes entreprises ou de chasseurs; les orangs-outangs sont des pédants serviles et fanfarons qui compilent des livres pour écrire d’autres; les chimpanzés constituent la classe intellectuelle qui écrit la plupart des livres intéressants.
Les recherches simiennes sont axées principalement sur la biologie: les savants étudient le singe en se servant de l’homme comme cobaye.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE IV -4

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE IV -4:
La guenon lui déclare qu’il court un grand danger parmi les singes, même s’il démasque pour révéler son intelligence.
Elle le met au courant de la découverte de sa fusée par les savants de Soror, qui s’applique à l’étudier.
Elle ajoute que ZaÏus, têtu, ne reconnaîtra jamais l’existence d’une intelligence humaine; il explique le cas d’Ulysse par la thèse de l’homme savant, un homme qui a été dressé lors d’une captivité antérieure pour accomplir certains actes sans les comprendre.
Elle confesse qu’elle convaincu le savant de ne disséquer son cerveau à des fins scientifiques.
Après ces révélations, Zira expose le plan qu’elle a échafaudé pour sauver Ulysse.
Dans un mois, le congrès annuel des savants biologistes se tiendra.
Le journaliste devra convaincre les savants et l’opinion publique de son intelligence humaine.
Il sera soutenu par Cornélius, le fiancé de Zira, qui croit à cette histoire.
Cornélius attend la guenon et l’homme derrière des fougères.
Après un bref moment de surprise, l’académicien serre la main que lui tend l’homme.
Le chimpanzé le harcèle de questions sur la terre et les hommes.
La conversation terminée, Cornélius approuve le plan de Zira et part. 
Le journaliste est ramené à sa cage; il rabroue Nova qui fait des simagrées pour l’accueillir.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE III -3

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE III -3:
Zira sort Ulysse de l’établissement, l’Institut des hautes biologiques, et l’emmène faire un tour en ville, dans l’après-midi.
Elle le tient en laisse et lui fait beaucoup de recommandations dégradantes sur la conduite qu’il doit tenir dans la rue.
Dans le corridor, l’homme lui prend le bras et se serre contre elle.
Mais au bout du couloir, elle le rudoie, prétextant qu’elle est fiancée et qu’en outre personne ne doit soupçonner sa nature d’homme à l’esprit de singe.
Dans la rue, Ulysse se sent gêné à cause de sa nudité.
Zira le place dans le siège arrière de sa voiture et conduit à travers les artères de la ville.
La cité ressemble aux villes des hommes terriens.
Après cette promenade. Zira arrête la voiture devant un parc.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE II -2

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE II -2:
Grâce à Zira, qui apprend rapidement le langage humain, Ulysse s’initie vite pour sa part à la langue des singes et pénètre leur esprit.
Ils s’entretiennent en français sur la place du singe et de l’homme dans l’univers.
Les primates se considèrent comme les seuls êtres supérieurs et raisonneurs.
Les hommes ne sont à leurs yeux que des créatures bestiales.
La guenon explique longuement au journaliste l’origine et l’évolution de l’homme et des singes.
Elle promet de lui faire rencontrer son fiancé Cornélius qui est un grand savant; celui-ci lui fournira plus d’explications.
L’entretien de Zira avec Ulysse est interrompu par les deux gardiens qui viennent distribuer le repas du soir.

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE PREMIER

La Planète des singes - Deuxième partie - Résumé CHAPITRE PREMIER:
Ulysse mérou commence à s’adapter à sa nouvelle vie dans la cage en compagnie de Nova.
Il apprend quelques mots du langage simien et gagne la sympathie de Zaram et Zanam.
Mais après plusieurs semaines, il prend conscience de sa honteuse résignation.
Un jour, il esquisse la silhouette de Nova sur le carnet de Zira, puis il trace la figure géométrique qui illustre le théorème de Pythagore.
Cela produit un effet surprenant sur la guenon qui communique désormais avec le prisonnier grâce aux figures géométriques.
Nova en est jalouse.
Zira sort précipitamment de la cage.
Elle y revient un instant plus tard et présente à Ulysse une feuille. L’homme figure sur la feuille le système de Bételgeuse et le système solaire.
C’est alors qu’apparaît ZaÏus qui arrive pour son inspection habituelle; par un geste, la guenon recommande au prisonnier de ne pas se démasquer à l’orang-outang.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XVII -17

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XVII -17:
Observant le comportement des prisonniers, le journaliste constate que l’homme fait un ornement amoureux pareil à celle de certains oiseaux.
Lui, il renifle à se livrer à des exhibitions amoureuses, en dépit des violences des gardiens pour l’y inciter.
L’intervention de Zira le sauve.
Quand le savant est mis au courant, il fait installer une autre femme à la place de Nova; celle-ci est jetée dans la cage d’un colosse qui se met à lui faire la parade amoureuse.
Par conséquent, le journaliste, devenu fou de colère, se met à s’agiter et à crier comme une bête.
ZaÏus sourit et fait ramener Nova dans la cage du journaliste qui s’offre à accomplir le vœu des singes.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé Chapitre XVI -16

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé Chapitre XVI -16:
Après quelques jours, le savant revient; il ordonne d’effectuer d’autres expériences.
Les deux gorilles suspendent un panier contenant la nourriture au plafond de la cage et disposent des cubes en bois.
Les prisonniers bondissent pour atteindre le panier.
Ulysse emplie les cubes et atteint le panier, devant l’administration de deux gardiens.
Nova l’imite et réussit après deux jours à disposer en équilibre, l’un au-dessous, de l’autre les cubes.
ZaÏus, accompagné d’un autre orang-outang et de sa secrétaire vient pour une nouvelle inspection.
Ils font subir au journaliste d’autres tests.
Il s’agit d’une boite fermée par neuf systèmes différents. Le cobaye réussit à l’ouvrir.
Cependant les deux savants restent incroyants. Cette attitude l’indigne, mais la compassion de Zira le retient d’éclater.
Dès que son confrère est parti, ZaÏus fait mettre en couples les prisonniers: il veut se livrer à des expériences sur l’instinct sexuel.
Nova est la compagne destinée au journaliste.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XV -15

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XV -15:
Avant que les deux singes aient le temps de répéter l’expérience.
Zira apparaît accompagnés de deux autres singes dont l’un, un orang-outang, est vraisemblablement une haute autorité scientifique et l’autre, une petite guenon, sa secrétaire.
Au moment où ils s’approchent de sa cage, Ulysse adresse la parole à l’orang-outang.
Ce dernier sursaute de surprise.
Il se met à arpenter le couloir. Le prisonnier l’imite parfaitement ce qui produit des éclats de rires chez les singes, provoquant la colère de l’orang-outang.
Mais cette colère cède la place à une stupéfaction générale chez les singes, au moment où le prisonnier adresse des propos au singe en l’appelant par son nom et son titre honorifique: Mi ZaÏus.
Alors le savon ordonne que l’on fasse que subir au prisonnier les tests d’hier.
Au cours de l’opération de la cloche, répétée dix fois, l’orang-outang dicte des commentaires à sa secrétaire.
Le cobaye s’avise de décrocher la pince qui établit le contact électrique et s’accroche aux barreaux.
Indifférent, le savant lui fait subir un test qui est une combinaison des deux premiers.
Il passe l’épreuve avec succès; aussi Zira applaudit-elle.
Pourtant, le savant reste incrédule et s’en va de mauvaise humeur.
Restée seule devant la cage, Zira tend la patte à Ulysse qui la saisit; alors le visage de la guenon rougit.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XIV -14

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XIV -14:
La deuxième journée se passe comme la première.
Le matin suivant, les prisonniers sont soumis à une série de tests.
Un gardien produit avec son sifflet une série de sons aigus pour attirer l’attention du journaliste et lui tend une banane.
Lorsque ce dernier veut le saisir, le singe s’éloigne.
Après avoir recommencé le même manège, il part déçu.
Ulysse se sent frustrer et observe ce test avec les autres captifs.
Ces derniers salivent et s’agitent quand les gardiens leur présentent des bananes: c’est à cette condition qu’ils reçoivent le fruit. Pendant plusieurs jours, les singes expérimentent sur les humains la théorie de Pavlov.
Au moment où le gardien se plante de nouveau devant sa cage, le journaliste, qui veut attirer l’attention sur son intelligence, se met à s’agiter et a saliver.
Cette réaction déconcerte les gardiens.
A sa grande déception, les geôliers s’éloignent sans lui donner la banane.
Un jour après, les gardiens reviennent.
L’un agite une cloche, l’autre branche un câble de la magnéto à la cage.
Ils veulent tester, chez les prisonniers, leur capacité d’établir une relation de cause à effet entre des faits.
Devant la cage du journaliste, les singes demeurent perplexes: celui-ci s’éloigne des barreaux électrifiés dès que la cloche tinte.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé Chapitre XIII -13

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé Chapitre XIII -13:
Le soir, les gorilles distribuent un autre repas, éteignent la lumière.
Et s’en vont. 
Le matin, un chimpanzé femelle, accompagnée des deux gardiens, vient devant sa cage et commence à l’examiner.
Le journaliste lui adresse la parole ce qui étonne beaucoup la guenon.
Malgré sa stupéfaction, elle lui sourit.
Enhardi (=donner de l’assurance), le détenu tend une main que la visiteuse prend en tremblant.
Elle lui donne un morceau de sucre qu’il croque.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XII -12

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XII -12:
Il dort jusqu’au lever du jour.
Il aperçoit alors que le véhicule pénètre dans une cité civilisée où il y a des autobus, des taxis, des épiceries. Ses habitants sont des singes.
Le journaliste perd tout espoir de rencontrer des hommes civilisés.
Lorsque le véhicule s’arrête dans une cour devant un hôpital, des singes infirmiers aident les gardiens à décharger les chariots. 
Le journaliste est jeté par deux gorilles dans une cage fixée au sol, à l’intérieur du bâtiment.
D’autres cages occupées par des humains sont alignées le long d’un couloir.
Nova est enfermée dans la cage juste en face de celle d’Ulysse.
La distribution de la nourriture et de l’eau calme les prisonniers agités.
Lorsqu’un gorille entre dans sa cellule pour lui donner sa ration, le journaliste essaie d’établir un contact avec lui en s’inclinant cérémonieusement.
Et tout en souriant, il lui adresser la parole.
Le singe en est grandement stupéfait.
Mais après, les deux primates rient à gorge déployée ce qui irrite le captif. Ils partent en notant quelque chose sur un carnet.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XI -11

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE XI -11:
 Le convoi roule durant toute la nuit.
Pendant le trajet, le journaliste essaie de trouver une explication logique à sa mésaventure miraculeuse.
Il regrette la disparition du professeur Antelle qui est capable de trouver une explication à ces événements étranges.
Pourtant, il élabore l’hypothèse que les habitants de cette planète auraient dressé des primates (singes); ces derniers auraient évolué pour devenir ce qu’ils sont maintenant.
Fatigué, Ulysse s’endort contre Nova.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé Chapitre IX -9

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé Chapitre IX -9:
Ils aperçoivent un gorille de grande taille, correctement habillé et chaussé de gants noirs.
Le singe tire sur un homme fugitif; ce dernier tombe mort. Plusieurs corps d’humains couvrent le sol.
Ulysse et Levain imitent certains humains qui filent en discrètement pour échapper aux singes tireurs postés dans divers endroits.
Effrayé, le jeune physicien court à l’approche d’un chimpanzé dans l’intention de fuir ; mais un coup de feu l’atteint et il meurt.
Le journaliste profite d’un moment d’inattention du chef des gorilles et s’enfonce dans la forêt.
Mais, après quelques pas il tombe dans un filet à grandes boucles où sont pris les autres fugitifs.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE VII -7

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE VII -7:
 Les autochtones, à la faveur de la surprise, attaquent les trois explorateurs et les immobilisent. Après les avoirs dénudés et dépourvu de leur équipement, les attaquants encerclent les cosmonautes et se mettent à jouer.
Ensuite, ils les entraînent au fond de la jungle.
Après un long calvaire de plusieurs heures les prisonniers sont lâchés dans une clairière, où il y a le campement des kidnappeurs.
Affamés, Mérou, Levain et Antelle ne peuvent toucher au repas d’une famille dont les membres dépècent avec leurs ongles la chair crue d’un animal qui semble à un cerf. 
Nova fait tomber des fruits délicieux d’un arbre. Après qu’ils en ont mangé à aversion, le professeur et son disciple s’endorment.
Nova aide Ulysse à construire une niche et couche à ses côtés.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE VI -6

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE VI -6:
Les explorateurs regagnent leur fusée après une vaine inspection à la sauvage (Nova).
Ils y attendent.
Au soir, ils ont l’impression d’être guettés par des yeux invisibles cachés dans la broussaille de la jungle.
Au petit jour, les hommes vont à la cascade et plongent dans l’eau.
Un moment après, la jeune femme apparaît accompagnée d’un homme d’âge mûr et complètement nu; derrière eux, il y a plusieurs hommes et femmes qui encerclent la piscine.
Les visiteurs ne tardent pas à s’avancer dans l’eau et à barboter en guise de jeu avec Ulysse, Levain et Antelle. 
Le journaliste indique des gestes pour établir un contact avec ces créatures ignorant la parole humaine.
Mais c’est un effort inutile.
Prenant conscience du ridicule de leur situation en train de jouer comme des gamins, les trois explorateurs pouffent de rire.
Ces éclats de rire sèment la panique parmi les autochtones qui s’enfuient dans la désordre et se rassemblent sur le berge du lac.
Levain, Mérou et Antelle se rhabillent.
Les deux premiers munis de leurs carabines, menacent les visiteurs qui se figent derrière les arbres. Les cosmonautes s’apprêtent à rentrer dans leur fusée.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE IV -4

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE IV -4:
La planète contient des océans, des forêts, des montagnes, des cultures, de l’herbe, des villes et des habitants; cependant apparemment, elle est peu civilisée car l’étendue de la jungle est très grande.
Habillés de scaphandres, les membres de l’équipage sortent de la fusée.
Ils enlèvent le scaphandre du singe en vue de s’assurer que l’air est respirable.
Alors la bête gambade (= bond) joyeusement et disparaît dans la forêt. 
A leur tour, les trois hommes enlèvent leurs scaphandres et inspectent les lieux; il y a des oiseaux, des végétaux et aussi la face de la planète semble-t-elle modifiée par quelqu’un. Ils baptisent cette planète Soror et ils s’aventurent au sein de la forêt, le journaliste et le physicien armés de carabines.
En s’avançant, ils découvrent une belle cascade.
Tout près, ils aperçoivent l’empreinte d’un pied humain.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE III -3

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE III -3:
Les explorateurs sont émerveillés par la magnificence de l’étoile.
Grâce à ses instruments astronomiques, le professeur Antelle découvre l’existence de quatre planètes.
L’une d’elles ressemble à la terre.
L’équipage descend sur la planète est habitée: il y existe une grande ville.
Le professeur décide alors d’atterrir dans une clairière, au milieu d’une jungle.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE II -2

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE II -2:
Ulysse Mérou, l’auteur du message, raconte l’histoire de son voyage intergalactique.
Le massage contient une annonce en mise en garde contre un phénomène menaçant la race humaine. 
Lui et avec ses deux compagnons s’embarquent en 2500 dans un vaisseau spatial, à destination de Bételgeuse, une étoile palpitante (= émouvante).
C’est le professeur Antelle qui conçoit le vaisseau et dirige l’expédition.
Un jour, après une longue traversée, les explorateurs voient l’étoile Bételgeuse.

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE PREMIER

La Planète des singes - PREMIERE PARTIE - Résumé CHAPITRE PREMIER:
Jinn et Phyllis, des riches oisifs, passent des vacances dans l’espace.
En naviguant dans l’immensité interplanétaire. Ils voient une bouteille à l’intérieur de laquelle il y a un papier.
Phyllis revêt (=rhabille) son scaphandre et sort de l’engin spatial pour récupérer l’objet insolite (= anormal).
Jinn casse la bouteille et déroule le papier; il contient un message écrit dans le langage de la terre.

Fiche de lecture «Le dernier jour d’un condamné».. Cadre. Enonciation, focalisation. Lieux. Durée. Le narrateur est le personnage. Focalisation interne

* Cadre: 
Lieux:
Les grandes prisons de Paris: Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville.
Durée:
Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud.
Thèmes:
La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice.

* Enonciation, focalisation:
Le narrateur est le personnage:
utilisation de la première personne.
 Le narrateur # l’auteur.
Focalisation interne:
accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde.

Fiche de lecture «Le dernier jour d’un condamné».. Auteur. Genre. Histoire. Composition. Personnages. les geôliers. Sa fillette. Le prêtre. La foule

Fiche de lecture «Le dernier jour d’un condamné»:
Auteur:
Victor Hugo. 
Titre et date de publication:  Le dernier jour d’un condamne, publié en 1829. 
Genre:
Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier.
Histoire:
Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort. Il nous raconte sa vie en prison; nous parle de ses sentiments; peurs et espoir, de sa famille; sa fille, sa femme et sa mère. Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.
Composition:
Le livre comporte trois parties: Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie.
Bicêtre: le procès, le ferrage des forçats et la chanson.
La Conciergerie: le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ;
L’Hôtel de Ville: le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève: l’échafaud.
Personnages:
Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule
le condamné à mort:
nous ne savons ni son nom ni ce qu'il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s'être repenti pour ce qu'il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d'une jeune fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que pour les autres. Il n'aime pas la foule et il ne l'aimera jamais et lui-même n'a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa fillette Marie et est très préoccupé pour son futur: chap. XXVI: "Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l'aime de toutes les tendresses de mon cœur"
les geôliers:
quelqu’un sont gentils avec le protagoniste; d'autres ne le sont pas. Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d'autres qui le traitent comme un animal.
Sa fillette:
Elle s'appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C'est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c'est ce que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu'elle ne voit plus depuis plusieurs mois.
Sa femme et sa mère: Elles ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la souffrance, à la peine indirecte que l'on fait subir aux membres de la famille du condamné a mort : "J'admets que je sois justement puni; ces innocentes qu'ont-elles fait ? N'importe ; on les déshonore, on les ruine. C'est la justice" (chap. IX).
Le prêtre:
Il est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son cœur, mais dit seulement de façon machinale ce qu'il dit habituellement avec les condamnés.
La foule:
C'est la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister à un spectacle : celui de l'exécution de la peine capitale par la guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le condamné sont proches l'une de l'autre au niveau moral.

Biographie de Victor Hugo. Cromwell, Hernani, Ruy Blas, Notre-Dame de Paris, Les Misérables, Les Châtiments, Les Contemplations. Le dernier jour d’un condamné

Biographie de Victor Hugo:
Fils d'un général d'Empire souvent absent, Victor Hugo est élevé surtout par sa mère. Alors qu'il est encore élève au lycée Louis le Grand, il se fait connaître en publiant son premier recueil de poèmes, Odes et obtient, pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Chef d'un groupe de jeunes écrivains, il publie en 1827 sa première pièce de théâtre en vers, Cromwell, puis Orientales et Hernani. Il s'impose comme le porte-parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gauthier. En 1829 il publie de façon anonyme Le dernier jour d’un condamné qui constitue un violent réquisitoire contre la peine de mort.
En 1831, il publie son premier roman historique, Notre-Dame de Paris, et en 1838 son chef-d’œuvre romantique Ruy Blas. En 1841, il est élu à l'Académie française. En 1843, la mort de sa fille Léopoldine le déchire et le pousse à réviser son action. Il entame une carrière politique. Élu à l'Assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l'entoure: la peine de mort, la misère, l'ordre moral et religieux. C'est en 1862 que Victor Hugo termine Les Misérables, immense succès populaire à l'époque. Fervent opposant au coup d'État du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l'exil jusqu'en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit Les Châtiments, et Les Contemplations. De retour en France, à plus de 60 ans, il entame la rédaction de La Légende des siècles. Poète romantique, dramaturge en rupture avec les codes classiques, et auteur de romans mythiques, Victor Hugo a connu la gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs.
Naissance: 1802, Besançon.
Décès: 1885, Paris.
Activité: Écrivain, poète, dramaturge.
Nationalité: France.
Mouvement: Romantisme.
Œuvres principales: Cromwell, Hernani, Ruy Blas., Notre-Dame de Paris, Les Misérables, Les Châtiments, Les Contemplations ; Le dernier jour d’un condamné.

Explication du vocabulaire employé dans «Antigone».. Cérémonie solennelle en l'honneur d'un mort

Vocabulaire employé dans Antigone:
Se dresser: Manifester son opposition. 
Jouer son rôle: Ce que doit dire ou faire un acteur dans un film, une pièce de théâtre…
Bal: Réunion où l'on danse: lieu où se tient cette réunion.
Robuste: Capable de supporter la fatigue; solidement construit: résistant. Fort, vigoureux.
Sordide: Misérable, d'une saleté repoussante. Qui fait preuve de bassesse morale: ignoble.
Nourrice: Femme qui allaite des enfants en bas âge. Femme qui garde des enfants à son domicile contre rémunération.
Tragédie: Pièce de théâtre, dont le sujet est généralement. Emprunté à la légende ou à l'histoire, qui met en scène des personnages illustres et représente une action destinée à susciter la terreur ou la pitié par le spectacle des passions et des catastrophes qu'elles provoquent : genre littéraire que constitue l'ensemble de ces Pièces.
Seuil: Entrée d'une maison, d'une pièce. Point d'accès à un lieu. Commencement de ce lieu. Limite au-delà de laquelle des conditions sont changés.
Garde: Celui qui est chargé de la surveillance d'un lieu, de la garde de certaines choses. Gardien. Surveillant. Soldat de la garde d'un souverain ou d'un corps spécial.
Ail: Plante potagère à bulbe dont les gousses, à l'odeur forte et au goût piquant, sont utilisées en cuisine.
Imposant: Qui impressionne par la grandeur, le nombre, la force.
Funérailles: Cérémonie solennelle en l'honneur d'un mort: obsèques.
Sépulture: Lieu où l'on inhume un corps  Tombe.
Funèbre: Relatif aux funérailles. Qui évoque la mort: qui inspire un sentiment de tristesse. 
Découverte: n est pas couverte, nue. 
S’attifer: S'habiller avec mauvais goût ou d'une manière un peu ridicule. 
Voyou: Individu de mœurs crapuleuses faisant partie du milieu. Garçon qui traîne dans les rues. Plus ou moins délinquant.
Oncle: Frère du père ou de la mère.
Nounou: Nourrice, dans le langage enfantin.
Promettre: S'engager verbalement ou par écrit à faire, à dire, à donner quelque chose.
Sale caractère: mauvaise manière habituelle de réagir propre à une personne.
Princesse: Fille ou femme d'un prince; fille d'un souverain ou d'une souveraine.
Colombe: Nom donné à certains pigeons et tourterelles. Symbole de la douceur, de la paix.
Fatigue: Sensation de lassitude causée par l'effort, l'excès de dépense physique ou intellectuelle.
Barbouiller: Salir, tacher quelque chose.
Folle: Qui est atteinte de troubles mentaux. Qui apparaît extravagante dans ses actes, ses paroles. Contraire à la raison, à la sagesse, à la prudence.
Faire mourir: Causer la mort de quelqu'un de manière violente.
Enterrer: Mettre en terre, enfouir. Mettre un mort en terre: inhumer.
Réfléchir: Penser, examiner longuement.
Pondéré: Qui sait se contrôler. Calme, modéré dans ses manières, ses prises de position.
Avoir pitié: Éprouver un sentiment qui rend sensible aux souffrances, au malheur d'autrui: compassion. 
Désobéir: Ne pas obéir à quelqu'un. Enfreindre une loi, un règlement, refuser de s'y soumettre.
Huer: Accueillir quelqu'un par des cris de dérision et d'hostilité. Conspuer, siffler.
Cracher: Rejeter quelque chose hors de la bouche, rejeter des crachats.
Murmurer: Dire quelque chose à voix basse. Confidentiellement.
Pleurnicher: Pleurer souvent et sans raison. Se lamenter d'un ton larmoyant.
Douleur: Sensation pénible, désagréable ressentie dans une partie du corps. Sentiment pénible. Souffrance morale.
Imperceptible: Qui échappe à nos sens: qui est trop petit pour être vu. Qui échappe à l'attention. Microscopique.
La dispute: Discussion très animée: querelle, altercation.
Avoir tort: Acte ou comportement contraire au droit, à la vérité, à la raison.
Pardonner: Renoncer à punir une faute, à se venger d'une offense. Avoir de l'indulgence pour une faute, une erreur ou ce qui pourrait être considéré comme un manquement aux usages, à une règle: excuser.
Bonheur: État de complète satisfaction, de plénitude.
Être grave: Sérieux, austère.
Idiote: Dépourvue d'intelligence, de bon sens. Étourdie. Irréfléchie.
Extraordinaire: Qui sort de l'usage ordinaire: exceptionnel. Qui étonne par sa bizarrerie: insolite. Hors du commun: remarquable.
Cadavre: Corps d'un homme ou d'un animal mort.
Tirer au sort: Faire désigner par le hasard.
Gratter: Frotter avec les ongles.
Rites: Ensemble des règles et des cérémonies qui se pratiquent dans une communauté religieuse  Coutumes, habitudes, les usages, traditions.
Braver: Affronter sans peur quelqu'un ou quelque chose.
Innocence: Pureté de quelqu'un qui ignore le mal. Absence de culpabilité. Naïveté. Ingénuité. Candeur.
Gueuler: Parler, chanter très fort: brailler. Hurler de douleur ou de mécontentement.
Témoin: Personne qui a vu ou entendu quelque chose et peut éventuellement le certifier.
Le page: Anciennement, jeune noble placé au service d'un seigneur.
La trahison: Action de trahir son pays, une cause, etc. Manquement à une promesse, à un engagement. Acte criminel contre la sécurité de l'État.
Le désespoir: Manque d'espoir, fait d'être découragé. Détresse, affliction.
Le bourreau: Personne qui infligeait les peines corporelles prononcées par une juridiction répressive, notamment la peine de mort. Tortionnaire, personne qui maltraite quelqu'un.
L'amant: Homme avec qui une femme a des relations sexuelles en dehors du mariage.
Poli: Qui observe les usages, les règles de la politesse. Courtois.
La putain: Terme populaire qui signifie prostituée: femme débauchée.
Rouge: Vin rouge, vin obtenu à partir de cépages rouges après la fermentation alcoolique complète.
Rigoler: Rire, s'amuser beaucoup.
Menottes: Bracelets métalliques avec lesquels on attache les poignets des prisonniers, ou de personnes appréhendées sur la voie publique.
L’édit: Sous l’Ancien Régime, acte législatif émanant du roi et concernant une seule matière, ou une catégorie particulière de personnes, ou une partie seulement du royaume
Servante: Femme ou fille à gages employée aux travaux domestiques.
Orgueil: Sentiment exagéré de sa propre valeur. Sentiment de dignité: fierté légitime.
Sauver: Tirer quelqu'un du danger, de la mort, du malheur.
Gouvernail: Appareil constitué d'une surface plane orientable vertical et servant à diriger un navire. La barre.
Équipage: Ensemble du personnel embarqué sur un navire, un avion.
Tressaillir: Sursauter, en particulier sous le coup d'une émotion.
Fêtard: Terme familier signifiant personne qui fait la fête.
Supplier: Demander quelque chose à quelqu'un avec insistance et humilité.
Somnambule: Qui est en proie au somnambulisme (Activité inconsciente, mouvements coordonnés, déambulation) se produisant pendant un sommeil.
Mépriser: Avoir ou témoigner du mépris pour quelqu'un ou quelque chose. Négliger, déprécier.
Honte: Sentiment pénible provoqué par une faute commise, par une humiliation, par la crainte du déshonneur. Action, parole qui provoque un sentiment de honte, de scandale.
Se taire: Garder le silence. Ne pas divulguer un secret.
Plaie: Déchirure provoquée dans les chairs par une blessure, une brûlure, un abcès.
Étreinte: Action d'étreindre (Serrer fortement quelqu'un avec ses membres. Serrer quelqu'un dans ses bras en témoignage d'affection.)
Nu: Qui n'est pas vêtu.
La foule: Réunion en un même lieu, d'un très grand nombre de personnes. Le commun des hommes, pris collectivement.
Envahir: Pénétrer par la force en nombre dans un pays et l'occuper.
Palais: Vaste et somptueuse résidence d’un roi, d'un chef d'État, d'un personnage de marque, d'un riche particulier.
Souiller: Salir quelqu'un. Déshonorer quelqu'un, l'avilir.
Murer: Enfermer quelqu'un dans un lieu dont on bouche les ouvertures ou dont les issues sont bloquées.
Tombeau: Monument élevé sur la tombe d'un mort.
Nuptial: Relatif à la cérémonie du mariage ou au jour du mariage. Conjugal.
Corvée: Travail pénible ou rebutant imposé à quelqu'un.